Les miracles de Jésus dans l’Évangile

Il suffit de lire l’Évangile pour s’apercevoir que c’est non seulement par son enseignement mais aussi par des miracles et des prodiges que Jésus a annoncé la Bonne nouvelle du salut.

Par le Père Alain de Boudemange – Article paru dans Il est Vivant n°344

Jésus guérit. Tout au long de son ministère public Jésus a prononcé un certain nombre de discours mais il a surtout accompli beaucoup de miracles. Quelques-uns de ces miracles viennent bouleverser l’ordre de la nature (l’eau changée en vin, la tempête apaisée, la multiplication des pains, etc.), mais le plus souvent ces miracles sont des guérisons : aveugles, boiteux, possédés, paralytiques, sourds, muets, épileptiques, etc. Si l’on enlevait les guérisons les Évangiles seraient beaucoup plus courts et Jésus nous apparaîtrait bien différent. On insiste souvent sur le kérygme (l’annonce de la mort et de la résurrection de Jésus) ou sur l’enseignement de Jésus pendant son ministère public et on est parfois gêné avec le ministère de guérison de Jésus. Cet aspect est pourtant essentiel !

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Comment Jésus guérit

Jésus agit, concrètement

Prières de guérison : qu’en dit l’Eglise ? – Intervention de Mgr Aupetit sur KTO

Avant de regarder plus précisément les miracles de Jésus il est intéressant d’observer la manière de faire de Jésus, d’une façon générale. Dans les Actes des Apôtres, nous voyons l’impression globale que Jésus a laissée à ses disciples. Lors du discours qu’il improvise le jour de la Pentecôte, Pierre résume l’action de Jésus : « Jésus le Nazaréen, homme que Dieu a accrédité auprès de vous en accomplissant par lui des miracles, des prodiges et des signes au milieu de vous… » (Ac 2, 22). Pierre souligne pour les habitants de Jérusalem que les guérisons montrent que Jésus agit de la part de Dieu. Il est “accrédité” par Dieu. Les miracles de Jésus sont un signe que Jésus vient de Dieu. Les guérisons opérées par Jésus ne sont pas seulement le signe que Jésus vient de Dieu : elles sont l’oeuvre de Dieu lui-même. Lorsque Jésus guérit, c’est en réalité le Père qui agit à travers lui. Ceux qui voient ces miracles doivent pouvoir reconnaître l’oeuvre de Dieu dans la personne de Jésus. Cela ressort particulièrement lorsque Jésus guérit le paralytique de Bethesda. Dans la discussion avec les pharisiens qui suit la guérison, Jésus affirme simplement : « Mon Père, jusqu’à présent, est à l’œuvre et moi aussi je suis à l’œuvre. » (Jn 5,17). Le pouvoir de guérir est bien le propre de Dieu, qui a créé l’homme, lui a donné la vie et garde la totale maîtrise sur la vie et la santé de ses créatures. Seul Dieu peut guérir. En opérant des guérisons, Jésus accomplit l’œuvre de Dieu. Plus précisément les guérisons physiques opérées par Jésus témoignent de la volonté de Dieu d’agir concrètement dans le monde. L’Incarnation, la venue du Fils dans le monde, témoigne de l’engagement concret de Dieu. Jésus n’est pas d’abord venu apporter un message ou une sagesse de vie ; il s’est engagé concrètement avec l’humanité. Il s’est laissé toucher par les besoins les plus simples des hommes et des femmes qu’il a rencontrés. Il est entré dans un contact charnel avec l’humanité. Même si parfois Jésus guérit d’une simple parole, bien souvent il touche les personnes. La femme hémorroïsse touche le vêtement de Jésus qui sent qu’une force est sortie de lui (Mc 5, 30). Jésus guérit la belle-mère de Pierre en lui prenant la main (Mc 1, 31). Les guérisons de Jésus sont un prolongement de l’Incarnation.

Jésus transforme réellement

Et quand on ne guérit pas ? – points de repère donnés par le Père Cantalamessa

Dans un autre discours, chez le centurion Corneille, Pierre donne un résumé un peu différent du ministère de Jésus : « Jésus de Nazareth, Dieu lui a donné l’onction d’Esprit Saint et de puissance. Là où il passait, il faisait le bien et guérissait tous ceux qui étaient sous le pouvoir du diable, car Dieu était avec lui » (Ac 10, 38). Jésus fait du bien. Il faut peut-être insister plus sur le verbe faire que sur le bien. On pourrait dire, avec un peu d’humour, que Jésus est le fils de deux artisans. Le Père est le créateur, l’artisan de toutes choses. Dans le jardin d’Eden, il modèle l’homme avec de la terre (cf. Gn 2) ; il le façonne comme un potier (cf. Jr 18). Mais Jésus a aussi grandi auprès de Joseph qui lui a appris le métier de charpentier. Jésus a passé de nombreuses années de sa vie à façonner du bois, à le travailler, à le transformer. Dire que Jésus a « fait du bien », ce n’est pas simplement dire que Jésus était agréable ou bienveillant, c’est affirmer que Jésus a transformé les hommes qu’il a rencontrés, il les a modelés. Les guérisons physiques opérées par Jésus sont le signe le plus visible de l’“artisanat” de Jésus. Jésus, le fils du Père, entretient et restaure la Création, et en particulier le sommet de la création, l’homme et la femme. Ce que fait Jésus en venant dans le monde est une re-création. Il vient restaurer l’image de Dieu qui avait été abîmée dans l’homme par le péché. Cette réalité, dans la plupart des cas est invisible. Par le baptême, nous le savons, nous sommes des créations nouvelles : « Si donc quelqu’un est dans le Christ, il est une créature nouvelle. Le monde ancien s’en est allé, un monde nouveau est déjà né. Tout cela vient de Dieu : il nous a réconciliés avec lui par le Christ. » (2 Co 5, 17) Cette transformation de notre être qui est réalisée par Jésus peut être difficile à saisir parce que nous ne la voyons pas directement. Les guérisons physiques qu’opère Jésus sont là pour nous rappeler, d’une manière visible et concrète, que par Jésus, Dieu vient nous recréer. Nous pouvons proposer cette analogie : dans la messe, le pain devient réellement le corps du Christ, même si en général nous ne le voyons pas. Cette réalité ne devient visible que rarement dans des miracles eucharistiques. Ainsi nous aussi, par le baptême, nous sommes réellement transformés par Dieu, justifiés, pardonnés, sauvés, même si ça n’est pas visible extérieurement. Les guérisons physiques opérées par Jésus manifestent occasionnellement cette transformation que Jésus est venu réaliser.

Le ministère de Jésus est universel

Témoignages sur la prière des malades – extraits d’Il est Vivant ! n°344

Cette restauration de la création par Jésus est destinée à tous. Elle a un caractère universel. Dans les Évangiles, nous avons de nombreuses guérisons particulières mais aussi plusieurs occasions où Jésus guérit un grand nombre de personnes à la fois. Lorsque Matthieu introduit le ministère de Jésus, il le résume à travers l’enseignement et les guérisons : « Jésus parcourait toute la Galilée ; il enseignait dans leurs synagogues, proclamait l’Évangile du Royaume, guérissait toute maladie et toute infirmité dans le peuple » (Mt 4,23). Alors qu’il part à Jérusalem : « De grandes foules le suivirent, et là il les guérit » (Mt 19,2). Il n’est pas dit que c’était une foule de malades ! C’est une foule, mais Jésus les guérit. Certainement un petit clin d’oeil pour nous dire que tout homme a besoin de guérison. Jésus est non seulement l’artisan qui restaure la création mais aussi le médecin qui guérit les malades. Lorsqu’il prend son repas avec le publicain Matthieu et certains de ses collègues, les pharisiens lui font des reproches. Jésus répond : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades… Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs » (Mt 9,12-13). Nous n’avons pas trop de peine à reconnaître que notre humanité et malade. Nous avons souvent plus de mal à nous reconnaître personnellement malade et à accepter de nous faire soigner. C’est la grande difficulté des pharisiens.

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Les trois caractéristiques de l’action de Jésus dans ses miracles

Nous avons parfois du mal à comprendre, dans l’Évangile et encore plus dans notre vie actuelle, pourquoi Jésus guérit une personne et pas une autre. Y aurait-il des conditions qui permettraient d’obtenir à coup sûr, comme par magie, une guérison de Jésus ? Certainement pas. Nous pouvons observer dans l’Évangile trois cas de figure différents.

Des miracles gratuits

Un numéro spécial sur la guérison – Il est Vivant ! n°344

Plusieurs miracles de Jésus sont accordés purement gratuitement, sans que la personne qui en bénéficie ni ses proches n’aient rien demandé. En entrant dans la ville de Naïn (Lc 7), Jésus et ses disciples croisent la procession qui va enterrer le fils de la veuve. C’est Jésus qui est pris de compassion, arrête la foule et ordonne au jeune homme de se lever. De même en passant au bord de la piscine de Bethzatha, c’est Jésus qui repère l’homme paralysé depuis trente-huit ans et lui pose la question : « Veux-tu être guéri ? » (Jn 5, 6). L’homme ne donne pas une réponse très claire à cette question et se borne à exposer des difficultés techniques. C’est Jésus qui prend l’initiative de la guérison qui aura même des conséquences négatives : c’est suite à ce miracle que les pharisiens décident de tuer Jésus. Un peu plus tard, toujours dans l’Évangile de Jean, c’est Jésus qui décide de faire de la boue pour guérir l’aveugle de naissance (Jn 9). Ces miracles, où aucun personnage ne demande rien à Jésus, nous rappellent que les guérisons sont toujours un don gratuit de Dieu. C’est Jésus qui décide des guérisons qu’il accorde et de la manière dont elles sont réalisées. Il serait tentant de voir une procédure bien balisée des guérisons de Jésus ; mais ce ne serait rien d’autre que d’enfermer Jésus dans nos manières de faire. L’action de Dieu nous dépassera toujours et nous ne pourrons jamais la maîtriser.

La foi

Dans de très nombreux miracles de Jésus, la guérison est liée à la foi. Prenons quelques exemples. Le centurion de Capharnaüm exprime sa foi en affirmant que Jésus est capable de guérir son serviteur sans même avoir besoin d’entrer dans sa maison. Jésus lui-même admire la foi de cet homme : « Amen, je vous le déclare, chez personne en Israël, je n’ai trouvé une telle foi » (Mt 8,10). Il conclut en garantissant au centurion que le miracle correspondra à sa foi : « Rentre chez toi, que tout se passe pour toi selon ta foi » (Mt 8,13). Un peu plus tard deux aveugles suivent Jésus (on imagine la difficulté de l’opération !) ; Jésus les interroge précisément sur leur foi : « Croyez-vous que je peux faire cela ? » (Mt 9, 28) En grec, le verbe « croire » et le mot « foi » ont la même racine. Jésus leur fait la même réponse qu’au centurion. La guérison correspond à la foi. Dans les Actes des Apôtres, Paul rencontre à Iconium un infirme de naissance et remarque sa foi : « Paul le fixa du regard et vit qu’il avait la foi pour être sauvé. Alors il lui dit d’une voix forte : “Lève-toi, tiens-toi droit sur tes pieds.” L’homme se dressa d’un bond : il marchait » (Ac 14, 9-10). Cette guérison n’aura pas que des conséquences heureuses : Paul et Barnabé seront pris pour des dieux païens ! Il n’en reste pas moins que dans ce cas, la foi semble une condition nécessaire à la guérison. La foi, nous dit le Catéchisme de l’Église Catholique, « est la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle » (CEC 166). C’est un autre aspect très important de l’action de Dieu. Dieu veut que nous soyons ses coopérateurs, que nous agissions avec lui. Certes, comme nous l’avons vu, il intervient parfois d’une manière complètement gratuite et inattendue, mais beaucoup plus souvent, il attend notre coopération. Saint Augustin le résume avec cette formule : « Dieu nous a créés sans nous ; il n’a pas voulu nous sauver sans nous » (Sermon 169 ; cf. CEC 1847). La foi est notre manière de coopérer à l’œuvre de guérison de Jésus.

L’intercession des proches

Nous voyons enfin plusieurs cas, et c’est très intéressant, où la guérison est accordée à la suite de l’initiative de tierces personnes. Il faut d’ailleurs imaginer que souvent les personnes guéries n’auraient pas pu avoir l’initiative de se tourner vers Jésus : comment un sourd aurait-il entendu parler de Jésus ? Comment un aveugle pourrait-il venir le trouver ? Ainsi le centurion intercède pour son serviteur (Mt 8) et la Cananéenne vient implorer Jésus pour sa fille (Mt 15). Ce sont les disciples qui conduisent Jésus dans la maison et lui parlent de la belle-mère de Pierre (Mc 1). À plusieurs reprises, on conduit les malades à Jésus. Deux cas peuvent être soulignés où les évangélistes mettent en valeur la foi non pas de la personne qui va être guérie mais celle de ceux qui l’entourent. Des amis d’un paralysé décident de tenter le tout pour le tout et de l’amener à Jésus. Ils sont empêchés de réaliser ce projet par la foule qui fait obstacle et ne permet pas d’accéder à la maison. Qu’à cela ne tienne ils passent par la terrasse et entreprennent de démonter le toit ! Ils descendent finalement leur ami au moyen de cordes. Jésus lui-même est étonné : Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : « Mon enfant, tes péchés sont pardonnés. » (Mc 2,5) Quelques instants plus tard l’homme sort (par la porte cette fois-ci !) en portant son brancard. Plus significatif encore est le chef-d’œuvre des miracles de guérison de Jésus, la résurrection de son ami Lazare. Celle-ci est précédée d’une longue discussion avec ses deux sœurs, en particulier Marthe. Jésus, semble-t-il, la provoque dans sa foi : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Marthe lui répond : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. » (Jn 11,25-27) Tout se passe comme si Jésus avait eu besoin de la foi de Marthe pour accompagner la résurrection de Lazare. Ces quelques exemples nous montrent un autre aspect essentiel de notre relation à Dieu qui se révèle à l’occasion des miracles. La foi n’est jamais individuelle. Tout au long de son ministère Jésus n’a cessé de rassembler. La grâce qu’il diffuse dans l’humanité se propage de proche en proche ; elle passe par mon frère pour m’atteindre et elle passe par moi pour rejoindre mes frères.

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Jésus appelle ses disciples à exercer le ministère de guérison

En lisant le Nouveau Testament, nous nous apercevons que non seulement Jésus s’appuie sur la foi pour apporter la guérison, mais encore qu’il demande également à ses disciples d’exercer ce ministère de guérison. Nous le voyons déjà au cours du ministère public de Jésus. Très vite, Jésus appelle des disciples pour qu’ils soient avec lui et pour les envoyer prêcher (cf. Mc 3, 14). Nous retenons souvent ce rôle d’enseignement dans la mission des apôtres. Mais Jésus ne leur donne pas uniquement cette mission : il leur demande de guérir. Luc est particulièrement clair : « Ayant réuni les Douze, il leur donna puissance et autorité sur tous les démons et il leur donna de guérir les maladies. Il les envoya proclamer le Règne de Dieu et faire des guérisons. » (Lc 9, 1-2). La guérison est un aspect inséparable de la prédication du Royaume ! Les Évangiles ne nous rapportent pas les guérisons spécifiques opérées par les apôtres mais nous avons plusieurs indications qu’ils en ont accomplies. Un jour les apôtres s’approchent de Jésus pour lui demander pourquoi ils n’avaient pu, eux, guérir un enfant épileptique. Cela suppose qu’ordinairement ils y parvenaient (Mt 17). Lorsque les soixante-douze disciples reviennent d’une deuxième campagne missionnaire, ils sont dans l’enthousiasme des signes qui se sont produits à travers eux : « Seigneur, même les démons nous sont soumis en ton nom ! » (Lc 10, 17). Les disciples ont pour mission, déjà pendant le ministère de Jésus, puis après sa mort, sa résurrection et son ascension, de prolonger l’action de Jésus. Les Actes des Apôtres, que Luc ajoute en complément de l’Évangile, nous montrent justement comment Pierre, Paul et plusieurs autres ont précisément reproduit les gestes de Jésus, en particulier dans son ministère de guérison. Très vite après la Pentecôte, alors que Pierre et Jean montent pour la prière au temple, ils guérissent un boiteux assis à la Belle Porte (Ac 3). Jésus avait lui-même guéri des aveugles et des boiteux dans le temple (Mt 21, 14). Un peu plus tard, alors que la mission s’étend à la Judée et à la Samarie, Pierre descend à Lydda et y guérit Enée, un paralytique qui était sur son grabat depuis huit ans. Aussitôt après, il ressuscite Tabitha à Joppé (Ac 9). Ces deux miracles sont réalisés par Pierre d’une manière entièrement conforme à celle de Jésus. Si nous poursuivons la lecture des Actes des Apôtres nous voyons Paul à Iconium guérir l’infirme de naissance (Ac 14). Un peu plus tard, à Troas, un jeune homme, Eutyque, tombe du troisième étage et se tue. Paul descend, et, en le prenant dans ses bras, lui rend la vie (Ac 20). C’est ainsi un véritable manuel de disciple que Luc nous fournit : un disciple, ou tout simplement un chrétien, est un homme ou une femme qui non seulement dit ce que dit Jésus mais aussi qui fait ce que Jésus fait. Ces deux aspects du ministère ne sont pas séparables.

Jésus est venu guérir l’humanité. Les Pères de l’Église étaient particulièrement attentifs à cet aspect du ministère de Jésus qui apparaît presque à toutes les pages du Nouveau Testament. Notre foi en Jésus, Emmanuel, qui a pris chair de notre chair, nous rappelle la réalité concrète de l’action de Jésus et nous invite nous-mêmes, unis à Jésus ou au nom de Jésus, à soigner et guérir nos frères.


Voir aussi : notre dossier sur la guérison


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