Prions pour la France !

Dans un contexte tendu et polarisé, nous croyons qu’une prière vécue avec foi, espérance et charité, peut avoir un impact décisif pour bâtir l’avenir de notre pays et pour soutenir un climat d’écoute et de dialogue nécessaire à la recherche sincère du bien de tous.

C’est pour cela que, dans un esprit de fraternité et de bienveillance, nous proposons de prier pour notre pays et pour ses responsables politiques, actuels et futurs. Prions pour qu’à travers eux quelque chose de la volonté de Dieu se réalise dans notre pays.

9 semaines pour prier

En vous inscrivant à la neuvaine, vous recevrez le nom d’un candidat pour lequel vous vous engagez alors à prier pendant tout le temps de la campagne présidentielle.

Chaque samedi de la neuvaine, vous recevrez par mail une vidéo de 3 minutes : des visages de la France partageront leurs rêves et leur espérance sur des thèmes importants de la campagne électorale. Une courte prière sera proposée sur ce thème. Nous serons aussi invités à faire un petit pas concret sur ce chemin de la recherche du bien de tous.

On en parle dans la presse

logo FC Famille chretienne

« Aimez vos ennemis, bénissez [les candidats] qui vous maudissent, [ou que vous maudissez vous-mêmes] »… Et si l’élection présidentielle devenait l’occasion rêvée pour les catholiques de mettre en pratique la fameuse maxime enseignée par le Christ ? C’est en tout cas le pari lancé par la communauté de l’Emmanuel avec l’initiative « PrierpourlaFrance ». Top départ le 5 février. (…)

« Cette élection intervient dans un contexte assez polarisé, il nous semblait précieux que les catholiques ne se laissent pas submerger par ces tensions mais puissent œuvrer pour un discernement apaisé », explique Flore Barbet-Massin, membre de l’Emmanuel impliquée dans le projet. « Le premier moyen pour un débat paisible est d’ouvrir nos cœurs et d’apprendre à écouter avec bienveillance ». (…)

Jérôme, 50 ans, (…) a rejoint le mouvement pour « confier à Dieu les enjeux très forts de cette présidentielle, et permettre que des débats de fond puissent vraiment avoir lieu pendant la campagne ». S’il n’a pas non plus pioché le candidat qu’il pense soutenir, Jérôme se réjouit de cette occasion de vivre « l’humilité et l’ouverture » et de suivre les débats avec plus d’attention que les années précédentes.

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