Quelle place et quel temps est-ce que je laisse à l’inconnu qui vient bousculer mon quotidien à l’improviste ?

Suis-je capable de me laisser bousculer dans mes convictions pour accueillir pleinement la réalité et les souffrances de mon prochain ?

Comment puis-je entrer dans un certain dépouillement dans mon cœur et ma maison, afin de faire une place à la rencontre de l’autre qui a besoin de moi ?

Suis-je engagé(e) dans un service en particulier pour accompagner les plus pauvres et les plus vulnérables ? Si non, auprès de qui puis-je servir ?

Ai-je revêtu les lunettes de Dieu pour regarder la personne vulnérable avec les yeux du Christ ?

Dans mes rencontres, suis-je attentif au trésor que l’autre peut me révéler et me transmettre ?