17 sessions en région et 6 sessions de VSF à l’Ile Bouchard

De la joie, de la consolation, de la fraternité : voici les pépites de l’été !

Plus de 4000 personnes ont participé aux 17 sessions organisées dans toutes les régions de France et en Belgique. Quant à elles, les Vacances Spirituelles et Familiales (VSF) ont rassemblé 250 familles venues chercher le bonheur promis aux familles par la Vierge Marie à l’Ile Bouchard.

De la Picardie à Toulon, de la Normandie à Aix-en-Provence, en passant par Vézelay, la Bretagne et les Landes, les grâces reçues sont nombreuses. Fiorettis !

A Vézelay, c’était leur première session. Conscients de leur pauvreté car ils sont peu nombreux, ils se sont lancés, avec confiance. Et n’ont pas été déçus. Annick Ledeuil, responsable de la session avec son mari Georges, raconte, encore émerveillée : « Nous avons prié Carlo Acutis pour lui demander 100 participants. Nous avons comptabilisé 100 inscriptions. La 100ème était celle d’un prêtre qui n’avait pas eu de place à Paray. La session commence, la sono tombe en panne. Le prêtre arrivé à la dernière seconde, par chance, avait une super sono toute neuve dans le coffre de sa voiture ! »

Ainsi la session a pu continuer et les merveilles de Dieu se déployer : « Une des participantes est venue grâce à une affiche vue dans un séminaire. Ce n’était pas trop loin de Paris, alors elle s’est inscrite. Elle a pu se confesser pendant la session, ce qu’elle n’avait pas vécu depuis 33 ans ! Une petite fille d’une dizaine d’années, venue d’un patronage, s’est écriée au milieu de la session « J’aime l’Eglise » et a demandé le baptême ! »

« Ce n’est pas Paray près de chez nous mais bien Paray chez nous ! »

Comme à Vézelay, Toulon, Noirétable, plusieurs sessions ont fait la part belle au 350ème anniversaire des Apparitions en invitant Sainte Marguerite-Marie (ses reliques !) avec un chapelain de Paray-le-Monial à intervenir. A Aire sur l’Adour, cela a inspiré au curé la phrase suivante : “Ce n’est pas Paray près de chez nous mais bien Paray chez nous ! » Pour cette 5ème édition, record d’affluence battu avec 320 participants, soit 80 de plus que l’année dernière, dans une ambiance à la fois joyeuse et recueillie.

Denise, pas très à l’aise avec les reliques, a été touchée en plein cœur lorsqu’elle a vu un couple âgé s’avancer devant le Saint Sacrement et les reliques : « Lui s’est agenouillé, a posé sa main sur la châsse des reliques puis il a pris la main de sa femme, et tous deux ont levé le regard vers Jésus sur l’autel. J’ai alors senti passer un tel courant d’amour que je ne pouvais pas détacher mon regard et en un éclair j’ai compris : le cœur brûlant d’amour de Jésus s’est déversé dans celui de Marguerite-Marie est passé dans le cœur de ce couple agenouillé devant Lui et cet amour a rejailli sur moi. Pardon Marguerite pour mes réticences, mes doutes, merci Seigneur pour cet amour incommensurable. »

A l’Ile Bouchard, Camille et Alexis Trentesaux, responsables des VSF, sont dans l’action de grâce « pour la fraternité qui se crée simplement et profondément entre les familles à chaque session. Pour la consolation qu’apporte la Vierge Marie aux familles qui portent des choses lourdes. Et pour la joie du service partagé avec les salariés, les prêtres, les serviteurs de maison, les guides (NDLR : 2 compagnies de guides d’Europe sont venues servir) et les membres de l’Emmanuel. »

Dans le Val d’Oise, Jacques et Cécile Bérelle, responsables de la session, se réjouissent des grâces reçues en abondance : « Nos frères chaldéens ont exprimé le désir de nous rejoindre à la prochaine occasion, d’autres nous ont partagé la joie de vivre une session comme à Paray, certains ont été touchés de s’être sentis personnellement accueillis et écoutés… Nous rendons grâce aussi pour tout ce qui ne se voit pas et ne s’entend pas : l’intercession des absents, les sacrifices grands et petits de ceux qui souffrent et ne pouvaient être présents physiquement parmi nous mais seulement au travers de l’offrande d’eux-mêmes. »

En Anjou, Vincent et Christel Fargue, responsables de la session, et les 170 participants, ont vécu une session de joie, de danse et de louange autour du thème de la beauté, comme perfection de la charité : « Joie de vivre cette session en communion avec les frères de Saint Jean qui nous ont accueilli à Notre-Dame du Chêne et qui ont apprécié notre présence. »

Joie et fraternité aussi du côté de Noirétable en Haute-Loire, comme en témoigne Chandara Bailleux, responsable de la session avec son mari Emmanuel : ” Les participants ont exprimé beaucoup de joie d’avoir passé 2 jours en petits groupes, de pouvoir se rencontrer facilement. Ils ont été très nombreux à participer aux carrefours sur la prière et sur la paix.” 

A Toulon, les responsables de la session se sont inspirés de l’homélie du pape au vélodrome de Marseille en septembre dernier :

« Tressaillir de foi c’est être touché de l’intérieur (…) et recevoir un regard nouveau pour voir la réalité. (…) L’expérience de la Foi, en plus d’un tressaillement devant la vie, provoque aussi un tressaillement devant le prochain. »

Répartis en fraternité, les 720 participants, « timides le premier jour, ont expérimenté la joie de la louange avec tout leur corps et ont vécu l’expérience du tressaillement » racontent Laëtitia et Guillaume Quesnel. « Certains demandent à entrer en fraternité paroissiale à la rentrée car les temps de fraternité ont été déterminants. Plusieurs groupes whatsapp de fraternités continuent pour garder le lien. »

Tous, des 4 coins de la France, partagent une même joie débordante, que Laëtitia et Guillaume décrivent ainsi : « celle de voir Dieu à l’œuvre et donner en abondance malgré notre petitesse et notre indignité. »

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